L'édito de Sarah Galibert
Présidente FNAIM Gard Lozère
L'Immobilier gardois a toujours le vent en poupe !
La rentrée est passée, les incertitudes liées au Covid19 demeurent mais confortent le choix de l'immobilier.
Plus que jamais, la demande d'investissement locatif est très soutenue. La pierre reste l'investissement préféré des français. Ainsi, pour les centres villes, les principales recherches sont orientées sur des studios et des P2.
L'offre est encore présente, il faut en revanche que les acquéreurs se décident rapidement, une fois leurs critères réunis.
Pour la résidence principale, les acquéreurs sont aussi nombreux privilégiant les biens avec extérieurs dans les quartiers résidentiels périphériques aux centres villes ou en villages.
Côté vendeur, il est essentiel de faire estimer son bien par un professionnel avant la mise en vente. Cela permettra d'obtenir un prix au plus juste de la valeur actuelle du marché de l'immobilier et d'établir un plan de commercialisation du bien. L'accompagnement d'un professionnel sécurisera la vente en s'assurant de la solvabilité des clients et en conseillant chaque partie.
L'intermédiation d'un professionnel de l'immobilier est une véritable valeur ajoutée pour le vendeur et l'acquéreur!
Actu:
Après de nombreuses années de bons et loyaux services, le DPE va de nouveau évoluer avant le 1er juillet 2021 pour se renforcer et devenir notamment opposable.
Il paraît ainsi intéressant de redécouvrir dès maintenant cet outil incontournable s'inscrivant dans le cadre de la politique énergétique définie au niveau européen afin de réduire la consommation énergétique des bâtiments et de limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Pour mémoire, le DPE renseigne sur la performance énergétique d'un logement ou d'un bâtiment, en évaluant sa consommation d'énergie et son impact en termes d'émissions de gaz à effet de serre.
Au-delà de son étiquette énergie qu'il est obligatoire de faire figurer sur toute annonce immobilière, il décrit le bâtiment ou le logement (surface, orientation, murs, fenêtres, matériaux, etc.), ainsi que ses équipements de chauffage, de production d'eau chaude sanitaire, de refroidissement et de ventilation. A l'heure actuelle, il indique, suivant les cas et l'année de construction, soit la quantité d'énergie effectivement consommée (sur la base de factures), soit la consommation d'énergie estimée pour une utilisation standardisée du bâtiment ou du logement.
