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Nîmes : zoom sur Gesimco et le secteur du marché-gare

Après les livraisons de Hoche Étoile (115 lots, en copromotion avec Icade) et du Domaine du Mont Duplan (94 lots, en copromotion avec Cogedim), le promoteur nîmois Gesimco lance deux nouvelles opérations.

Il s'agit de L’Empreinte Jaurès (13 logements), rue de la Paix, proche du centre-ville, et, avec Bama, des Coteaux de Védelin (40 logements), dans le lotissement du Petit Védelin. Les travaux de ces deux résidences seront lancés en septembre, pour une livraison au 1er trimestre 2022. L'architecte est CLN (Clément Lebert). « L'Empreinte Jaurès est une petite opération, où nous nous exprimons différemment. Les propriétaires font leur appartement sur mesure, avec des prestations haut de gamme », précise Adrien Combès, directeur général.

Des prix stables

« Le marché nîmois de la promotion immobilière reste stable, avec des prix qui se situent à environ 3.500 €/m2 », ajoute-t-il. Malgré la période de confinement, les ventes se maintiennent : « 33 lots actés à fin juin, alors que nous avons fini l'année 2019 avec 62 lots vendus », précise-t-il. Une autre résidence d'une trentaine d'appartements, proche du centre-ville, est à l'étude. En matière de terrain à bâtir, Gesimco lance la commercialisation d'une quarantaine de lots au Petit Védelin. Les parcelles, comprises entre 400 et 1.000 m2, sont cédées entre 130.000 et 190.000 euros. Depuis sa création en 1978, Gesimco Promotion a livré dans la région de Nîmes 1.700 logements, 600 terrains à bâtir et 11.000 m2 de locaux professionnels. 


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La SPL Agate va requalifier le secteur marché gare


La société publique locale (SPL) Agate veut requalifier le secteur marché gare (7 hectares), situé à l'ouest de Nîmes.

La SPL est concessionnaire de l'aménagement de ce secteur. Le marché a été attribué par Nîmes Métropole, communauté d’agglomération désormais présidée par Franck Proust. « L'objectif consiste à développer un pôle tertiaire à l'est de ce secteur, et un pôle agroalimentaire à l'ouest, détaille Antoine Cotillon, directeur général d'Agate. Les actions sont plutôt foncières à ce jour, pour maîtriser les emprises nécessaires. » L'aménageur public souhaite conserver deux anciens bâtiments, datant des années 60 et présentant un intérêt architectural : l’ancienne halle, avec des voûtes en béton armé, qui était la halle aux bestiaux, et l’ancien abattoir. « Nous pourrions les transformer en tiers-lieux », projette Antoine Cotillon. La concession, récemment attribuée, dure 12 ans.